Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone.

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~ Crowley Leonel Panadero ~
◖ The greatest happiness of life is the conviction that we are loved;
loved for ourselves, or rather, loved in spite of ourselves. ◗

~ Nom : Panadero ~ Prénom : Crowley Leonel ~ Âge : 34 ans ~ Traits de caractère : Calculateur - Dragueur - Arrogant - Fidèle - Loyal - Intelligent - Jaloux - Impulsif - Organisé - Sarcastique - Drôle - Attendrissant - Franc - Joueur - Colérique - Impatient ~ Profession : Voleur et arnaqueur ~ Situation amoureuse : Fiancé ~ Orientation sexuelle : Hétérosexuel ~ Signe astrologique : Balance ~ Situation financière : Aisé ~ J'aime : Calypso - Être sur la route et me sentir libre - Cette adrénaline qui parcours tout mon corps lorsque je fais des courses de voiture ou une arnaque - Jouer de la guitare - Charmer des femmes pour mettre Calypso hors d'elle - Conduire, que se soit lors d'une course ou simplement pour voyager - Regarder Calypso cuisiner - Jouer au poker. ~ J'aime pas : Perdre, je suis un très mauvais perdant d'ailleurs - Rater un coup - Mettre en danger Calypso avec notre mode de vie - Qu'on s'approche de ma fiancée - Rester inactif - Qu'on tente de m'arnaquer - Les mensonges venant des gens que j'aime ~ Groupe : goldfinger.

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Qu'est-ce que la justice ?
La justice est une chose crée pour que les méchants soient punis et que les gentils se sentent en sécurité enfin ça c'était avant. L'homme a corrompu cette belle image de justice, comme il a corrompu beaucoup de chose. Je pars du prince que quand on est créé quelque chose c'est neutre. Ce qui compte c'est ce qu'on en fait et comment on l'utilise, certains vont réellement appliquer la justice pour protéger les gentils citoyens alors que d'autres sont autant pourris que les criminels et ils utilisent la justice à leur avantage pour se remplir les poches.
Mais bon moi tout ce qui concerne la justice j'essaye de le fuir, tout comme les représentants de la loi, on n’est pas vraiment amis. Alors qu'au fond on essaye tous de survivre dans ce monde à sa façon, la vie est difficile et on doit faire des choix. J'ai fait les miens et je les assume, j'ai créé ma propre justice et je suis le seul qui décide dans mon tribunal. Ça fait un peu dictature je me rends compte dit comme ça, mais j'essaye de me protéger du mieux que je peux et surtout Calypso alors je préfère me débrouiller seul et être mon propre justicier. Je suis un peu comme un batman ou un spiderman seulement du côté des méchants donc en fait je suis plutôt comme le Joker.
Il t'arrive d'enfreindre la loi ?
Tous les jours, enfin peut-être pas littéralement quoi que si un peu. Dès que je peux enfreindre les lois j’en profite non pas parce que j’ai un esprit rebelle même si ça doit jouer un peu. Mais je n’obéis qu’à mes propres lois, je ne prête pas attention à ce que des gens au fond d’un bureau on écrit. Qu’on se mette d’accord, ceux qui ont écrit ces lois sont des gens protégés qui n’ont jamais eu à survivre dans ce monde comme nous les simples citoyens, le peuple comme ils disent. Au Panama les choses étaient vraiment différentes, c’était l’anarchie alors chacun devait apprendre à se débrouiller, créer ses propres règles pour survivre. Je ne viens pas d’un milieu aisé ou je n’avais pas à réfléchir, mon père n’était pas un homme respecté, il n’était pas un de ces bureaucrates qui se cache derrière un bureau pour prendre des décisions. Alors il m’a appris à n’écouter que mon instinct même si ça voulait dire enfreindre les lois, depuis que je suis né j’ai appris à jouer avec ces lois et ne pas les respecter. Mon père a servi d’exemple je dois l’avouer car il n’a jamais respecté la loi lui non plus, créant de nouvelles arnaques encore et encore. Pour moi ça a donc commencé avec ces fameuses arnaques, il se faisait passer pour un médium ou encore un père triste qui voulait créer une association pour son fils malade et je l'aidais dans tout ça sans même réfléchir. Puis j'ai continué en jouant les pickpockets dans la rue et j'ai fini par braquer un casino, une jolie évolution non?
Heavybrook t'en penses quoi ?
Heavybrook est une ville plutôt sympa, elle est assez discrète mais il y a de quoi faire. Bon pour être totalement franc avec Calypso on l’a choisi au hasard, je lui ai dit de faire ploum ploum sur la carte et on est tombé sur cette ville pour notre plus grand bonheur. On se sent bien ici, comme si on y avait toujours vécu, puis c’est loin du Panama donc ça nous arrange quoi.
Qu'est-ce que tu nous caches ?
Je ne parlerais qu’en présence de mon avocat, non je rigole. Je ne sais pas si je cache réellement quelque chose je suis plutôt un livre ouvert vous ne trouvez pas ? Il n’y a pas de sujet tabous pour moi, ou de chose à ne pas dire. Mais au fond on a tous nos petits secrets, en réalité Calypso et moi n’avons pas choisi cette ville pour prendre des vacances, lors de notre dernier coup on a été compromis, le directeur du casino a vu nos visages et on a été forcé de fuir. On a eu l’argent mais on a été comme chasser du Panama, cet endroit ou on avait vécu toute notre vie et ou était tous nos souvenirs. On essaye donc d’être discret, de ne pas s’attirer trop de problème, on vit de ce qu’on a volé sans faire de bruit, à deux nous sommes plus fort. Notre force c’est qu’on ne se cache rien l’un à l’autre et ainsi notre couple est solide, mais parfois c’est difficile quand on est en pleine fuite, on n’a plus personne alors déjà qu’on n’avait pas beaucoup de gens de confiance se retrouver à seulement deux peut-être parfois étouffant. Mais mon plus grand secret c’est que j’ai vraiment envie de me caser et Heavybrook nous offrira peut-être cette chance, qui sait le mariage se fera bientôt, j’ai envie d’une vie un peu plus paisible et plus sûr pour Calypso. Parfois j’aimerais faire mes coups tous seuls pour simplement la protéger mais elle m’en collerait surement une si je faisais ça.
De quoi as-tu peur ?
Je n’ai pas peur de beaucoup de chose, dans un monde comme le nôtre je ne sais pas si on peut se permettre d’avoir peur. La peur est égal à une faiblesse pour moi et je n’en ai qu’une, perdre Calypso, qu’il lui arrive quelque chose par ma faute. Il faut l’avouer je l’ai un peu entrainé dans ce monde obscur et elle a décidé de venir vivre dans les ténèbres de son pleins grès mais ça n’empêche pas que parfois j’aimerais qu’elle quitte ce monde. Je sais que si un jour je la perds se sera la fin pour moi, c’est étrange pour des ‘criminels’ comme nous d’être autant attaché à une autre personne et pourtant elle est la femme de ma vie, la seule qui vaut la peine. Elle mérite tous le bonheur que je peux lui offrir mais parfois je me demande si elle ne serait pas mieux sans moi, peut-être qu’un jour elle rencontrera un homme mieux, un qui ne drague pas les autres femmes simplement pour l’énerver, un qui gagne sa vie honnêtement, un qui peut s’engager totalement sans avoir peur. Calypso est ma faiblesse et j’espère juste qu’elle ne le découvre jamais car elle saurait à quel point elle peut me faire du mal si elle le souhaite, je ne suis qu’un homme faible face à cette femme et si elle le remarque c’est la fin pour moi.
Ta playlist :
Metric : Blindness - M83: Midnight City - Morgan Taylor: Where do I even start - Jason Reeves : Save my heart - Matt Nathanson : Kiss Quick - Brooke Waggoner : Heal for the Honey - Ben cocks : So cold - Andrew Bell: All those pretty lights - 2AM: Worry about you.
Parles nous de toi.
Les voitures et la conduite sont une vraie passion, j'ai une Chevrolet Impala de 1967 auparavant à mon père que j'ai mis à mon goût et surtout que j'ai mis à jour pour notre époque. C'est mon bébé et je ne supporte pas que quelqu'un la touche, je laisse parfois Calypso la conduire mais c'est très très rare car comme on dit femme au volant mauvais tournant. ∞ J'aime jouer au poker, j'ai commencé très jeune, je pariais quelques billets que j'avais volé dans le métro. ∞ Je suis un mauvais perdant, je ne supporte pas vraiment ça. ∞ J'ai commencé à voler les gens très jeune, quand j'avais à peine quatre ans mon père m'amenait avec lui dans ses arnaques. ∞ Calypso est la femme de ma vie j'en suis certains et je suis fidèle mais j'aime draguer d'autres femmes pour qu'elle s'énerve ça me rappelle à quel point elle m'aime. ∞ Je suis très maniaque, je ne supporte pas la saleté et qu'on déplace mes affaires. ∞ Quand je suis fatigué j'ai tendance à me comporter bizarrement. ∞ Je ne sais pas faire cuire un œuf, ou des pâtes, ou du riz, en fait je suis vraiment nul dans une cuisine c'est une catastrophe mais je suis très doué pour appeler des livreurs. ∞ Je joue de la guitare depuis mes huit ans, un des caïds avec qui je trainais m'avait dit que ça ferait craquer les filles, avec Calypso ça n'a pas raté. ∞ Je dors avec un revolver sous mon oreiller. ∞ Vers l'âge de dix ans j'ai commencé à prendre des cours de boxe et de judo, deux sports qui n'ont rien avoir mais qui m'ont appris beaucoup de chose, surtout à me défendre. ∞ Ma cigarette du matin est très importante, voir primordial. Je ne parle pas avant de l'avoir fumer, d'ailleurs je n'aime pas parler quand je me réveille. ∞ Je suis en couple depuis que j'ai 17 ans, je l'ai rencontré et je ne l'ai jamais quitté.

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~ Pseudo : Bloup ~ Prénom : Laëtitita ~ Âge : 21 ans ~ Où as tu connu le forum ? : PRD ~ Avatar : Paul Walker ~ Commentaire : Huum j'ai eu un petit coup de coeur pour ce fo' puis ça corresponds totalement à ce que je voulais comme si vous lisiez dans mes pensées Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1115433506

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+ why do we fall ?

« People like me don’t write books, they‘re written about »

« Papa qu’est-ce qu’on fait là ? » Je regardais mon père avec mes grands yeux d’enfant, le prenant encore pour un héros, mon héros à moi en fait. Je voyais mon père grand, fort, intelligent je lui vouais une admiration sans faille. Pour moi il n’y avait que du bon en lui, il était parfait, c’est surement pour ça que je suis tombé de très haut en découvrant la vérité mais pour l’instant j’étais simplement un enfant de huit ans aveuglé par l’admiration qu’il porte à son père. En même temps il venait me chercher à l’école à n’importe quel moment pour m’emmener dans de grandes et belles maisons. « On est là pour pouvoir manger ce soir alors tu te tiens bien et tu me suis sans parlé à part si je te donne l’autorisation. » Je le suivais simplement dans cette somptueuse maison, ça changeait tellement de chez nous, on avait une petite maison toute délabrée le toit fuyait de tous les côtés quand il pleuvait c’était une chance de vivre au Panama les pluies peuvent être rare. Contrairement à la pelouse parfaitement tondu de cette maison, notre petit jardin ressemblait plutôt à une décharge dans laquelle tout le monde se débarrassait de ses affaires. Et pourtant mon père et moi étions sur notre trente et un à chaque fois qu’on visitait des maisons comme ça. Les autres enfants dans mon quartier avait aussi des beaux habits comme ça mais ils étaient réservés au dimanche pour aller à la messe, nous c’était seulement pour voir ces vieilles dames. J’entrais dans la maison, je ne touchais rien tellement j’avais peur de tout casser et on suivait simplement un vieux monsieur jusqu’à un salon. A cette époque il n’y avait que mon père et moi, ma mère était partie ou morte je ne savais pas trop et je n’avais jamais demandé car c’était un sujet délicat. Plus tard j’ai appris qu’elle avait fui avec un autre homme, c’était soi-disant son âme-sœur puis elle ne savait pas comment gérer un enfant. Un tas de connerie quoi, elle était juste partie parce qu’elle pensait pouvoir avoir mieux que cette vie minable que lui offrait mon père, mais moi-même si ce n’était pas parfait j’étais heureux. Je suivais donc mon père quoi qu’il me demande, il n’avait que moi sur qui compté. On s’installa sur un des canapés du salon et mon père commença à parler de fantôme, du mari décédait de la vieille dame, c’est à cet instant que j’ai compris que mon père escroquer les gens pour vivre car soyons réaliste il n’avait aucun don de médium. « Je vous présente mon fils Crowley, il est né avec mon don et il peut lui aussi sentir la présence des esprits n’est-ce pas ? » Il porta son regard sur moi et il n’avait pas besoin de parler, il me faisait confiance en me faisant entrer dans ses combines, c’était sa façon de me transmettre quelque chose, je commençais alors ma première arnaque en quelque sort. « Oui … Je sens une forte concentration dans cette pièce, on peut le ressentir grâce à l’amour fort qu’il ressentait pour vous. » La vieille dame était attendrie et elle nous faisait confiance, alors on allait souvent chez elle. Puis il m’emmena chez d’autres personnes et c’était toujours la même chose, je mentais naturellement sans avoir à me forcer simplement pour le rendre fier. Mais l’alcool passa par-là, les effets sur sa personnalité aussi, il changeait petit à petit et se renfermer, passant son temps dans le canapé quand il n’allait pas arnaquer les gens. Et moi enfant je m’occupais de tout le reste, de faire les courses, de le nourrir, je m’occupais du linge, au départ la voisine m’aida, elle avait compris que mon père n’était pas capable de s’occuper de tout ça. Alors elle m’apprit à m’occuper d’une maison, je grandissais alors dans cette atmosphère lourde, avec un père de plus en plus éteint. Il était perdu et je pense qu’il n’a jamais pu trouver le bout du tunnel, alors je l’épaulais comme je pouvais mais c’était de plus en plus difficile.

J’entrais dans l’adolescence enfin tout du moins dans la puberté, j’avais besoin d’un modèle et je n’avais qu’une loque face à moi. Je rencontrais alors des gens pas forcément fréquentable quand on a douze ans mais je me sentais à ma place parmi eux, ils n’avaient pas eu une vie facile et on était comme une famille. Ils m’apprenaient à voler, je jouais alors les pickpockets dans la rue, dans le bus, n’importe où en fait pour rajouter un peu d’argent aux arnaques de mon père qui se faisait de plus en plus rare, surement car il avait arnaqué tous les gens possibles à arnaquer à La Palma. Le problème dans ces histoires c’est qu’on se fait toujours rattraper au moment même où on baisse sa garde, ce fut le cas de mon père. A un moment tout bascula c’était le 26 juin, j’avais passé la journée dehors avec mes nouveaux amis et je me décidais enfin à rentrer chez moi, il devait être minuit, je ne sais plus vraiment. Alors que j’ouvrais la porte de chez moi je sentais qu’il y avait quelque chose d’étrange, je n’entendais pas le son de la télé mais je n’y prêtais pas attention plus que ça. Ce n’est que lorsque j’aperçus le corps de mon père inerte sur le canapé que je compris. Il était mort, une balle entre les deux yeux et je me retrouvais alors orphelin, je regardais le corps de mon père incapable de bouger ou de faire quoi que ce soit. J’étais juste bloqué, notre chère voisine passait par là à cet instant, surement après son service au bar du coin et elle trouva bizarre que la porte soit ouverte. Elle me trouva là incapable de faire quoi que ce soit face au corps de mon père, elle appela la police qui tenta de m’interroger mais je ne parlais pas. Je n’y arrivais pas, mon père était loin d’être le papa de l’année ou la meilleure personne au monde mais il ne méritait pas de mourir ainsi. Plus tard j’appris grâce aux rumeurs qu’il avait emprunté de l’argent aux mauvaises personnes, il avait emprunté à la mafia, ces gens-là ne rigolent pas c’est le moins qu’on puisse dire. Le mafieux en tête de ce réseau demanda à ce qu’il soit tué, alors à mon tour je ferais tout pour me venger et lui gâcher la vie, je n’allais pas le tuer se serait trop doux pour cet homme sans aucun scrupule. Je ne savais pas quel serait ma vengeance encore mais il était clair que je pouvais commencer ma vendetta et je ne lâcherais pas l’affaire.

« In the face of true love you don’t just give up,
even if the object of your affection is begging you to »

J’entrais alors dans le système, les familles d’accueils, les foyers et tout ce qui s’en suit, je ne voyais pas le bout et je me devais d’être réaliste personne ne voudrait d’un enfant de mon âge, j’étais trop vieux. Je continuais alors à tremper dans des histoires pas très nets avec l’espoir un jour de pouvoir atteindre de près ou de loin cet homme qui m’avait enlevé le peu qui me restait. C’est alors qu’un jour en sortant de l’école j’aperçus une personne qui m’était familière, ma voisine je me demandais ce qu’elle faisait là mais au fond j’étais heureux de la voir. Elle devait se sentir seule elle aussi sans enfant, ni mari on lui tenait souvent compagnie. Elle m’adressa un sourire, ce sourire qu’une mère pourrait adresser à son enfant pour le rassurer sur la suite de son existence. « Comment ça va toi ? Tu as l’air fatigué et tu as maigri. » rien que ces quelques mots à mon attention me redonnait le sourire, on ne s’était plus préoccupé de moi comme ça depuis longtemps et j’avais enfin l’impression de compter pour quelqu’un. « Oui ça va, je change souvent d’endroit pour dormir mais je m’y suis fait, la preuve je garde toujours mes affaires avec moi maintenant. » Je ne savais pas si je tentais de la persuader elle ou moi de mon état, mais elle comprit que ça n’allait pas, je m’étais retrouvé seul du jour au lendemain et ce n’est facile pour personne de n’avoir que soi sur qui compter. « Je ne voulais pas t’en parler avant pour te faire la surprise mais j’ai fait une demande pour être ta tutrice légale. Maintenant c’est ton choix tu peux venir à la maison et déballez tes affaires pour un long moment ou repartir vers l’inconnu. » Je n’avais même pas besoin de lui répondre, je la suivais heureux que quelqu’un veuille de moi. Je n’allais plus être l’orphelin dont personne ne veut, j’avais cette femme qui croyait en moi. On était conscient que ce serait difficile, la cohabitation et l’entente mais on faisait des efforts, je l’aidais du mieux que je pouvais et elle me laissait ma liberté de jeune adolescent tout en me mettant quelques règles. Chose que je n’avais jamais connu, mais en même temps je n’avais jamais connu d’amour maternel non plus et cette femme était comme ma mère.
Je vivais alors ma vie, entrant dans un monde surement trop obscure pour moi mais je m’y sentais à ma place, je n’avais connu que ça, les vols, les arnaques cette envie de se dépasser pour ne pas se faire prendre. Je menais ma barque, je commençais même à jouer les chauffeurs à ceux qui braquaient les banques, bijouteries et magasin en tout genre. Ils me faisaient confiance et je trouvais cet esprit d’équipe agréable. C’est donc comme ça que j’ai commencé à m’intéresser aux voitures, vouant une réelle passion à la mécanique, je bidouillais les voitures comme je pouvais mais je n’y connaissais rien. Alors on me présenta un mécano, qui m’apprit tout ce qu’il fallait, moi qui manquait d’une figure paternelle il jouait ce rôle à merveille, on s’entendait bien et en plus notre passion pour les voitures nous unissaient. Mes journées étaient bien remplies entre les braquages et la mécanique, puis je rentrais aider ma tutrice qui travaillait autant qu’elle pouvait. Je commençais alors les courses de voiture pour gagner un peu d’argent. Elle ne voulait pas l’accepter mais je ne l’écoutais pas, on avait besoin de cet argent alors on n’allait pas faire la fine bouche, il n’y avait rien d’illégal à gagner une course de voiture.

Le seul problème c’était l’école, j’étais au lycée maintenant, un ado de dix-sept ans qui ne supporte pas l’idée d’être enfermer alors qu’à l’extérieur il y a pleins de moyens de se faire de l’argent et on n’a pas besoin de bouquin. Mes nombreuses heures séchées me valait d’aller en colle, mais pour une fois le destin a bien fait les choses. Dès la première heure dans cette salle je remarquais une jeune femme, elle était d’une beauté renversante, je n’avais jamais vu une fille aussi magnifique et mes hormones de mâle pré pubère étaient tout émoustillées. Je m’arrangeais alors pour m’asseoir derrière elle, j’avais déjà rencontré des filles auparavant, étant considéré comme un bad boy mystérieux au lycée c’était facile pour moi d’avoir des filles mais celle-là était différente. « Salut, je m’appelle Crowley. Je t’ai jamais vu ici t’es nouvelle ? » La jeune demoiselle se retourna vers moi et me lança un regard glacial, ce genre de regard qui pourrait vous tuez, mais je n’acceptais pas vraiment d’être envoyé balader. Alors chaque jour je venais lui parler, lui dire bonjour et lui demander comment elle allait. Ca dura quelques jours, puis j’avais fini mes heures de colle et je n’avais pas l’occasion de la revoir, mais elle me donna une raison d’aller à l’école. Je la cherchais, voulant en savoir plus sur la seule fille qui avait osé me refouler. Je l’ai retrouvé un jour à l’arrière de l’établissement, avec une bande de mec que je connaissais plus ou moins, je décidais alors de m’incruster et elle était forcée de me parler, son prénom était Calypso. Je pense qu’au début elle a accepté mon invitation à aller manger un bout simplement pour que je la lâche, sauf que malheureusement pour elle je ne l’ai jamais lâché.
Notre premier rendez-vous était dans un vieux restaurant, l’endroit n’était pas parfait mais c’était la seule chose que je pouvais me permettre vu mon budget. J’avais joué les gentlemen parfaits, pour moi tout ça n’avait rien de sérieux et je voulais simplement réussir à l’avoir. Mais on commença à parler, je découvrais alors une personne extraordinaire, elle était belle et intéressante, loin de ces bimbos qui me courraient après. On est resté assis là à parler jusqu’à ce que le restaurant ferme, on n’avait même pas remarqué l’endroit désert trop absorbé par nos conversations. On se découvrait et moi qui ne m’était toujours intéressée qu’à moi et bien je trouvais ça super de connaître quelqu’un comme ça. Ce soir-là je l’ai ramené chez elle et on a échangé notre premier baiser, j’étais aux anges mais je n’imaginais rien de sérieux entre nous. On était des adolescents, on n’est pas sérieux à dix-sept ans et pourtant on ne s’est jamais quitté. Si certains pensent qu’on ne peut pas rencontrer l’amour de sa vie aussi jeune et bien Calypso et moi on peut leur prouver le contraire, on est ensemble depuis tellement longtemps maintenant et toujours aussi amoureux. C’est fou mais entre nous ça a été une évidence, on a évolué ensemble et on continue à le faire, je l’ai initié à tout un tas de chose qu’elle n’aurait surement pas dû voir mais j'étais un livre ouvert avec elle, je ne lui ai jamais menti, surement l’unique personne qui a bénéficié de cette faveur.

« The only thing that’s ever been real is me and you »

Le lycée arriva à sa fin, l’adolescence aussi et je me demandais ce que j’allais bien pouvoir faire de ma vie, je n’avais aucun diplôme en poche, aucun grand talent à part celui de voler et je voulais offrir à Calypso tout ce que je pouvais. A mes yeux elle méritait d’avoir tout ce qu’elle voulait, sortir de cette vie qu’on avait tous les deux trop connus. On commença alors à monter des coups, des petits braquages de magasin, on volait ces gens qui avaient plus que nous et qui de toute façon serait remboursés par leurs assurances. Je laissais tomber ma bande avec qui j’avais l’habitude de faire des coups, je les remplaçais avec la seule personne qui importait vraiment dans ma vie. Ma tutrice légale n’était pas au courant de ces vols mais elle se doutait surement de quelque chose, elle n’était pas stupide. Je ramenais de l’argent alors que je ne travaillais pas, bien sûr je lui mentais, je racontais que j’aidais au garage et qu’ils me payaient au black mais je pense qu’au fond elle savait très bien ce qui se passait. Je devenais un criminel comme mon père, je suivais ce chemin là car je ne connaissais rien d’autre, c’est surement pour ça qu’elle ne me disait rien. Cette femme m’avait donné une chance et je continuais de l’aider comme je pouvais mais au fil des années je voulais m’émanciper, alors avec Calypso on mettait de l’argent de côté pour avoir notre chez nous. A nos vingt ans on sauta le pas, un petit appartement, on n’avait pas grand-chose mais ça nous suffisait amplement car on était ensemble. Après chaque braquage je donnais un peu d’argent à ma tutrice, elle le méritait bien, je lui rendais alors visite entretenant des relations. Elle était ce qui se rapproché le plus d’une mère pour moi, d’une famille même et j’étais simplement heureux. Je vivais ma vie tranquillement mais une part d’ombre était toujours là, je n’avais pas oublié ma vendetta contre celui qui m’avait enlevé mon père. Je me faisais un réseau un peu plus grand chaque jour simplement pour pouvoir trouver cet homme qui m’avait tout enlevé.

Mais à un moment je me rendais compte qu’il fallait que j’évolue, que je grandisse et que notre relation avec Calypso grandisse aussi. Le temps m’avait appris qu’elle était la femme de ma vie, bien sûr on s’engueulait, très souvent même vu nos caractères forts mais on s’aimait plus que tout. Je m’amusais à draguer des filles, ou me laissait draguer simplement pour la voir débarquer et se mettre dans une rage folle, je sais c’est un peu stupide mais c’était mon moyen pour être sûr qu’elle m’aimait toujours. Mais à vingt-huit ans, après une dizaine d’année de relation j’avais fait le choix de faire ma demande, oui j’allais me caser un peu plus officiellement avec la seule qui réussissait à faire battre mon cœur. Je braquais alors une bijouterie en solo, chose que je n’avais jamais fait mais c’était une toute petite bijouterie, je me mettais en quête de la bague parfaite. Et au premier coup d’œil je savais laquelle serait parfaite, unique et scintillante comme la jeune femme qui partageait ma vie. Je rentrais chez moi avec mon butin, en essayant d’être discret pour qu’elle ait totalement la surprise, le soir même je m’habillais alors bien, un jolie costume et je lui demandais de se préparer. J’avais utilisé l’anniversaire de notre rencontre en salle de colle pour qu’on sorte. J’étais tellement nerveux, je voulais que tout soit parfait et surtout qu’elle me dise oui, l’engagement n’était pas vraiment dans nos gênes vu nos parcours mais il était temps pour nous d’avoir une vraie relation d’adulte. Je comptais attendre la fin du repas, pour faire comme dans les films mais rien ne se passa comme prévu. On mangeait notre plat, en parlant de tout et de rien, vu de l’extérieur on avait l’air d’un couple tellement normal. « Au fait, j’ai trouvé une paire de boucle d’oreille dans la chambre tout à l’heure et elle n’était pas à moi alors j’aimerais des explications. » Et oui entre une discussion sur la météo et notre prochain coup elle me posa une colle. Je commençais à rougir, j’avais été forcé de voler d’autres choses pour faire genre et puis ça pouvait toujours être utile pour faire un cadeau à quelqu’un. « Je… Heu… C’était ton cadeau pour ce soir pour notre anniversaire. » Je bafouillais cette phrase pas du tout sûr de moi, je mentais sans problème à tout le monde mais lui mentir à elle m’était impossible. Elle commença alors à me poser encore plus de question, car c’était étrange d’après elle que je sois allé acheter des boucles d’oreilles et puis c’était stupide vu qu’on n’avait pas les moyens plus que ça. Je la regardais blaser, elle était en train de gâcher un moment que j’avais monté, je prenais alors la bague qui gisait dans la poche de ma veste. « Bon maintenant que tu as tout gâché tu te tais et tu me laisses parler. » L’effet fut rapide, elle arrêta de parler dès qu’elle aperçut la bague entre mes doigts. Je souriais et je prenais sa main dans la mienne. « Calypso Sofia Revilla, tu es la plus belle femme que j’ai rencontré dans ma vie et la plus intéressante puis surtout la seule assez folle pour me supporter et me suivre dans mes plans tordus. J’ai fait semblant toute ma vie, je mens depuis toujours et je suis loin du gendre idéal. Mais nous deux, c’est la seule chose réelle dans ma vie, la seule chose qui compte alors veux-tu m’épouser ? » J’attendais la réponse avec un gros stress, j’espérais ne pas me retrouver bête face à un nom car j’étais un salaud souvent. Mais elle a répondu oui en faisant de moi l’homme le plus heureux, c’était un nouveau tournant pour nous, le signe que même dans une vie chaotique comme la nôtre l’amour existe. C’était une nouvelle vie qui s’offrait à nous, on serait plus fort que jamais.

« « It wouldn’t be my world without you in it »

Au bout de longues années je m’approchais enfin de mon but, j’allais bientôt pouvoir me venger de cet homme qui m’avait enlevé le peu qui rester dans ma vie, qui avait pris la vie de mon père pour seulement quelques billets. J’avais tout prévu, j’allais lui enlever son précieux argent, il était à la tête d’un casino et je décidais qu’il allait le regretter. Le seul problème dans l’histoire c’est que je n’avais jamais parlé à Calypso de cette vengeance qui me motiver, cette rage que j’éprouvais pour un homme que je ne connaissais même pas. Je lui exposais simplement mon idée de braquer un casino, ce serait une chance pour nous et on aurait plus à s’inquiéter pour notre avenir si tout se passait bien. J’avais mon plan en tête, je risquais de tout perdre mais j’avais besoin de montré à cet homme qu’il n’était pas intouchable comme il le pensait, puis soyons honnête la sécurité des casinos aux Panama surtout à La Palma ne sont pas les meilleurs. J’avais tout prévu, on entrerait par la porte principale avec nos armes et on les ferait nous donner l’argent. Le jour J tout se passaient comme prévu, on nous donna tout ce qu’on voulait et même plus que souhaiter mais mon envie de montrer à cet homme ma vengeance était trop forte, j’enlevais alors la seule chose qui cacher mon visage pour qu’il voit qui avait volé son argent. On s’enfuyait alors avec Calypso, qui n’avait surement pas compris mon acte. Je démarrais la voiture en trombe, elle me fixait et contenait sa rage mais visiblement sa volonté était trop faible. « C’était quoi ça ? T’es fou ils ont vu ton visage. Je te rappelle que celui qui le tient fait partie des hommes les plus puissants de La Palma. » Je ne savais pas quoi dire, je regardais la route, je savais déjà ou allait. Je me dirigeais vers cet endroit ou j’avais grandi, pour donner assez d’argent à ma tutrice pour qu’elle n’ait plus à s’épuiser. « Y a eu un problème avec la cagoule je suis désolé. » Je gardais mes yeux sur la route, c’était la première fois que je mentais à Calypso, je m’en voulais mais maintenant que c’était fait ça ne servirait à rien de raviver de vieux souvenirs. On arrivait rapidement chez ma tutrice et je sortais de la voiture le plus vite possible, j’entrais alors dans l’appartement et je lui déposais le sac sur la table du salon. Elle me regarda avec des grands yeux, surement choqué de voir autant d’argent, elle commença à me dire qu’elle ne pouvait pas accepter mais elle savait que je ne lui laisserais pas le choix. Elle nous proposa alors de fêter ça avec un peu de champagne, enfin du cidre plutôt vu ces moyens, je savais déjà ce qui m’attendait, Calypso allait me passer un savon alors je prenais les devants. « Je vais partir d’ici, tu mérites d’avoir une vie plus tranquille et tu ne devrais pas avoir à fuir de ta ville. Peut-être que je pourrais revenir à un moment mais pour l’instant c’est mieux que je parte. » Ma tutrice revint dans la pièce à cet instant, me sauvant d’une dispute sans fin mais Calypso n’avait pas dit son dernier mot et alors qu’on partait de cet endroit qui fut ma maison une grande partie de ma vie elle ne me laissa pas le choix. Elle allait venir quoi que je dise ou fasse, vu son regard je savais que c’était peine perdu pour que je la contredise. On commença alors notre road trip, s’arrêtant dans de vieux motels sans jamais vraiment se poser, j’étais fatigué de cette vie décousu alors un jour je proposai à Calypso de choisir un endroit. Au final on prit une carte et elle pointa son doigt au hasard sur une ville : Heavybrook, c’était le départ de notre nouvelle vie. On arrivait alors dans cette ville, tout était vraiment sympa et on pouvait se fondre dans la masse, on mettait un peu de côté les braquages pour ne pas se faire repérer tous de suite, puis j’avais un peu cet envie de me ranger, j’ai trente-cinq ans bientôt quand même mais je sais que c’est ancré en moi, ce sera plus fort que nous et on s’y remettra rapidement. J’ai aussi envie de me marier, oui car j’ai fait ma demande il y a six ans déjà et toujours pas de date de prévu, sauf que j’ai peur que Calypso découvre pourquoi j’ai voulu braquer ce casino. Je sais qu’elle m’en voudra de lui avoir menti et ça mettra un coup à notre relation alors j’essaye d’être le fiancé parfait même si je n’y arrive pas toujours. Ca fait déjà deux mois et demie qu’on s’est installé dans cette ville et on a surement pleins de chose à vivre ici je n’en doute pas, j’espère juste ne pas m’attirer des problèmes trop rapidement.

TU CROIS QUE JE PEUX TE MARIER? PARCE QUE CE CHOIX D'AVATAR EST VRAIMENT TROP PARFAIT ET ORIGINAL Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1631244980

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1631244980

Bienvenue à toi et je vais exiger un lien. I love you

Invité

grave, choix parfait pour le forum.
bienvenue.

Merci

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 815439761

J'aime cet accueil.

Magdanela -> Hum je pense qu'une demoiselle ne va pas être contente si je te choisis comme femme. Mais pour le lien y a aucun soucis Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2591455040

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2591455040

Blaine tu veux rire c'est ton choix qui est parfait JAMES Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2918750682

Choix d'avatar ET avatar de dingue.
bienvenuuuue sur TTTM, et bon courage pour ta fiche.
Si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à stalker ma boîte mp.

Pfff personne a besoin de le savoir Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2196594420

Bienvenue

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1798904646

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2663898434

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2404916970

Super méga trop bon choix & by the way

Spoiler:

GOSh mes camarades ont raison, trop perfect! Bienvenue à toi Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 3469255487

L'avatar, le lien Tout est tout parfait Bienvenue par ici

Vesper -> Merci :D Scarlett est pas mal non plus j'ai envie de dire

Magdalena -> Malheureusement je suis un salaud fidèle, je me suis fait avoir que veux-tu.

Casey -> Merci ^^ J'adore Hayden .. Haha j'avais jamais vu cette image Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 3773438697

Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 3773438697

Rhys ->

James McAvoy ... T'es bien au dessus de moi là pour le choix d'avatar ^^

Mona -> Merci :D

Rolala mais vous avez tous des avatars de fous aussi ^^

bienvenue parmi nous Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 2404916970

trèèèès bon choix d'avatar, j'ai hâte d'en savoir plus sur le personnage Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1631244980

Inutile de préciser que le lien est obligatoire !! Bienvenue parmi nous bel homme

Walker, t'as le tiercé gagnant, là. Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 3479808947

Je te souhaite la bienvenue. I love you

Bienvenue parmi nous Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 3997559177

tu as jusqu'à demain pour terminer ta fiche I love you

, si ce n'est pas le cas elle et ton compte seront supprimé. tu peux, bien sur, avoir un délais de trois jours si besoin Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 815439761

Juliet : Avec grand grand grand plaisir Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1631244980

Gibson & Elias : Merci Crowley L. Panadero { I got this feeling on the summer day when you were gone. 1440860012

Billy : Oui j'avais compté haha ^^ J'avais déjà prévu de la finir ce soir donc voilà ^^

je valide

» feeling a bit lost
» How to ruin a beautiful day {Crowley
» Crowley } Hey stranger when may i call you my own?