Mona Hadley
~ MESSAGES : 143 ~ ARRIVÉE : 25/05/2013 ~ AVATAR : SOPHIE TURNER. ~ CRÉDITS : HERJULIWII/TUMBLR. ~ PSEUDO : ALY
- REAL HERO ~ ÂGE: VINGT ANS. ~ NOTEBOOK: ~ DISPONIBILITÉS : (02/04)
| Sujet: (M) AU CHOIX Dim 26 Mai - 16:19 | |
| IMAGE FROM SITE, BY CREATEUR ~ VITO MALONE~ Nom : Malone. Tout a fait négociable, c'était pour ne pas le laisser vide. ~ Prénom : Vito qui n'est qu'un surnom mais personne ne connait son véritable prénom qui est au choix, et ridicule. ~ Âge : Obligatoirement au dessus de trente ans. Avant cinquante quand même mais ça reste très libre. ~ Traits de caractère : Franc, buté, loyal, compétitif, patient, autoritaire, jaloux, quelque peu coléreux. ~ Profession : Officiellement comme vous voulez. Quelque chose qui ne prendrait pas beaucoup de temps. Officieusement, il est à la tête d'un quatuor de cambrioleurs plutôt doués. ~ Situation amoureuse : Célibataire. L'amour, ce n'est pas son truc. ~ Groupe : Goldfinger. ....................................................Beaucoup de choses sont négociables, le personnage est aussi le votre donc vous pouvez apporter vos idées. Pour l'avatar, j'avoue sécher un peu. J'avais pensé à Robert Downey Jr qui est peut-être un peu vieux, Alexander Skarsgard le dieu vivant, Norman Reedus, tout dépend de l'âge que vous prenez. Sinon je vous aimerai tout fort si vous le prenez et que vous finissez votre fiche et qu'on puisse rpotter. Ce sera bien drôle → Il n'a pas eu une vie facile. Pas de grande maison et de parents heureux. Je le vois bien ayant perdu son père ou sa mère étant jeune. Ce n'est pas un enfant de cœur et il aurait pu faire pas mal de connerie donc pourquoi pas rejoindre un orphelinat ou comme ça. En tous les cas, il a fait son petit bout de chemin tout seul et pas toujours dans la légalité. → Il ne croit pas en l'amour. Ou du moins il a peur d'y croire. C'est un peu complexe mais toujours est-il qu'il ne s'est jamais marié et que ses relations sont en générales très courtes. D'une nuit courte. → Cela fait déjà un an que leur petit groupe de cambriolage a commencé. Au départ, il n'y avait que Toby. Et Toby a croisé Mona à plusieurs reprises et connaissant la réputation de sa famille, il a proposé qu'ils l'engagent vu ses capacités informatiques et intellectuelles. Et Mona a trouvé Bella qui était parfaite dans le rôle de la distraction ou du deuxième comparse si besoin. Du coup, Vito ne fait pratiquement plus de cambriolage lui même, il supervise tout, s'occupe de la logistique et de tout ce qui est repérage et recel. → Le reste est un peu au choix, tout est possible. + brighter than the sun - Citation :
- Vito est plus le partenaire de Mona que le patron. Il ne règne pas en maitre sur le petit groupe, aussi ils n’ont pas de relations employé/patron mais plus de deux connaissances qui s’amusent ensemble. En général, ils restent tous les deux en planque dans le camion pendant les cambriolages donc ils leur arrivent souvent de délirer pour tout et rien. Comme Mona ne l’a jamais envisagé comme un potentiel petit ami, elle est très à l’aise avec lui et ils s’entendent vraiment bien. Il la surprotège un peu, n’aime pas qu’on lui tourne autour lorsqu’ils sortent tous ensemble pour fêter leur magot. Récemment, tout a changé. L’incident est plus bas pour le lire dans sa totalité mais toujours est-il que leur relation a changé du tout au tout. Mona ne peut s’empêcher de rougir et sortir n’importe quoi quand il est dans les parages et du coup elle est de moins en moins présente en personne, envoie des mails principalement. De son côté, Mona ne comprend pas bien ce qu’il s’est passé, s’il a simplement envie de coucher avec elle ou s’il l’apprécie vraiment. Elle ne l’a jamais vu avec une fille donc elle se pose pleins de questions. De votre côté, je vois deux possibilités. Soit il apprécie beaucoup Mona mais vu son âge et leur différences, il avait préféré garder les choses simples jusqu’à l’autre jour. Soit i la craqué et l’a embrassé parce qu’il était sur les nerfs et qu’il la trouve vraiment joli mais ne ressent rien pour elle. Les deux pourraient être intéressants a jouer je pense.
- Spoiler:
[size=11]Le grand derrière, c’est Vito. Ce n’est pas son véritable prénom, un hommage au parrain parait-il. Elle ne sait pas Mona, ce n’est pas sa génération. Ses classiques ce sont Twilight et Quatre filles et un jean. C’est peut-être Alceste, Hubert ou Kyllian. Bastien, Cary ou Ernest. Elle ne sait pas Mona mais les prénoms pourris, ça, elle sait. Et il le connait son prénom. Ramona. Il se plait à le prononcer tout le temps. En entier, comme pour la mettre au défi de l’en empêcher. Mais elle ne le fait pas, jamais. A la place, elle l’appelle Hubert ou Fernand. Des vieux prénoms qu’elle trouve sur Wikipedia et les forums de grossesse. Vito, c’est leur chef. C’est le cerveau de la bande, le plus mafieux des mafieux. C’est leur Carlisle, leur Gandalf, leur Iron Man. C’est le meilleur Vito. Il sait où aller et quand y aller. Il sait où revendre, pour combien. Il sait où blanchir l’argent et comment le distribuer. Et il est toujours là, derrière votre épaule à vérifier que vous faites votre boulot. Il à confiance pourtant, une confiance aveugle en chacun d’eux mais il vérifie. C’est plus fort que lui. Et ça exagère prodigieusement Bella, la blonde. Elle porte bien son nom, on dirait une statue grecque de l’antiquité. Un visage de Vestale, des yeux de biches et un sourire à tomber. D’ailleurs, Bella, c’est leur appât, leur atout séduction. C’est leur plan b. C’est la fille qui peut retenir n’importe qui d’un seul regard. Et puis quand elle parle, quand elle parle c’est magique. Elle ouvre la bouche et tous les hommes sont subjugués, pendant à ses lèvres. Bella, c’est aussi une ancienne gymnaste, elle peut se faufiler partout. C’est le premier membre de l’équipe sur le terrain. Son coéquipier, le grand blond c’est Tobias. Toby. Le pro des serrures et des coffres forts. Rien ne lui résiste. Il n’est pas très doué avec les gens, il préfère les objets. Il en créé beaucoup Toby des objets. Des gadgets comme il les appelle. Parfois ils sont supers utiles et parfois, comme les lunettes parapluie, elles le sont moins. Et il y a Mona. Mona le bébé. Mona le prodige comme on l’appelle. Toujours derrière son ordinateur à faire dieu sait quoi. Des démineurs la plupart du temps. Mona c’est le petit génie de l’informatique qui se charge de trouver les plans de la maison, de couper les alarmes, de retenir les flics. Mona c’est aussi la reine du plan c, aussi appelé le plan foireux. Heureusement, ils n’ont jamais eu à le mettre en place.
Les pieds sur le bureau, Mona sursaute lorsqu’elle entend son nom et manque de tomber de sa chaise. Elle rattrape de justesse son ordinateur et se râpe le bras au passage sur le bord du vieux bureau en bois. Elle grince des dents, sa résistance à la douleur est d’à peu près moins un sur dix. « Où ils sont ? » Vito passe dans son champ de vision, il est agité, comme s’il avait vu un fantôme. « Ils sont rentrés chez eux il y a une heure à peu près. » Ils étaient venus, ils avaient vus, ils avaient vaincus et ils s’étaient barrés. Comme d’habitude. Ce qui changeait c’était que Vito n’était pas là pour regarder par-dessus son épaule cette fois ci. Il n’était pas là pour tout superviser et ça ne lui ressemblait pas. « Qu’est ce qu’il y a ? » Mona ferme son ordinateur portable et se lève pour s’avancer vers Vito qui entame un va et vient sur la moquette usée de leur planque pourrie. « Eh Albert, la naine te parle. » Il n’y a plus aucun respect chez les jeunes d’aujourd’hui. Pour une naine t’es plutôt bien développée. C’est ce qu’il aurait du dire. C’est ce qu’il disait toujours. Mais il ne le dit pas. Il se tourne vers elle, et avant même qu’elle ne le réalise ses lèvres se retrouvent sur les siennes. Il était devant elle et tout d’un coup il se retrouve sur elle, contre elle. Ses mains encadrent ses joues, ses lèvres glissent sur les siennes et son corps chaud se serre contre celui immobile de Mona. Elle ne comprend rien. Du tout. Mais son corps comprend avant elle. Ses bras se meuvent autour de son cou et ses courbes se pressent contre celles de Vito. Herbert, Johnny, Gus ou peu importe son nom. Il la soulève et elle passe ses jambes autour de lui, s’approche du bureau et se penche pour leur faire une place. Une étincelle de bon sens transperce le brouillard de luxure. « Mon ordinateur. » Il rit, le déplace avec toute la douceur du monde avant de revenir à elle. Il est partout. Ses lèvres, ses mains. « Dieu, tu es si belle. » Et sous son regard, sous ses regards elle le pense. Vraiment. « C’est moi ! » Il était en train de défaire les boutons de son chemisier, s’arrête immédiatement. Son esprit reprend le contrôle de son corps et Mona panique. Elle se tortille sous Vito pour pouvoir se relever et se jeter sur le fauteuil, attrapant son ordinateur à la vitesse de la lumière pour se donner une contenance. Sa main dans les cheveux, elle se recoiffe vainement lorsque Toby passe la porte. Mona à l’impression que son visage brule tant elle est rouge. Elle se cache comme elle peut, son sang rugit trop violemment dans ses veines pour qu’elle arrive à se concentrer sur leur conversation. « Je vais y aller moi. » Elle se lève, ramasse ses affaires, ne range rien, se contente d’en faire un tas qu’elle serre contre elle. « A demain. » Elle lève la tête vers lui et croise son regard. Et elle a l’impression de fondre. Ça recommence. Elle le sait. Elle va rougir bêtement, glousser, raconter n’importe quoi avant de s’arrêter et de partir précipitamment. Mona lui sourit, elle se dandine d’un pied sur l’autre et ses lèvres s’ouvrent sans qu’elle ne puisse les arrêter. « Oui, à demain. Enfin à moins qu’une météorite ne s’écrase sur la terre tu sais, auquel cas je serai probablement quelque part écrasée dans une crevasse. Ou alors l’électricité va disparaitre et je serai dans le coin à essayer de ne pas me faire tuer pour un morceau de pain tu vois. La routine. » Un urgent désir de se frapper violemment la tête contre les murs lui prend mais la perspective de la douleur en découlant l’en empêche. Elle le regarde, rougit encore plus et finalement fait demi tour et marche le plus rapidement possible vers la sortie.
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