(sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone.

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~ SIBEAL BRECKENRIDGE
◖ I can see your lips moving, I've just learned not to hear. ◗

~ Nom : Breckenridge. ~ Prénom : Sibeal. ~ Âge : 36 ans. ~ Traits de caractère : Rusée, déterminée, intelligente, subtile, violente, insensible, sarcastique, réfléchie, souple, froide (en général), protectrice, possessive, discrète, douée avec tous types d'arme. ~ Profession : Tueuse à gages/garde du corps de Vesper Saadi-Nelson. ~ Situation amoureuse : Célibataire. ~ Orientation sexuelle : Bisexuelle. ~ Signe astrologique : Poissons. ~ Situation financière : Stable. ~ J'aime : Ma moto, mon métier. ~ J'aime pas : La solitude, parfois. les personnes qui se mettent en travers du chemin de mon patron. ~ Groupe : Goldfingers.

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Qu'est-ce que la justice ? La justice ? Suivant comment on voit les choses, ça peut s'avérer utile dans certaines circonstances. Personnellement, j'ai une image de justicière aux yeux de mon patron puisque je règle ses problèmes avec les autres et "punis" ceux qui ont fait des choses répréhensibles. La justice telle qu'on la voit a la télé, je pense que c'est assez inutile. Puisque quand je me suis fiée à elle par le passé et elle n'a rien arrangé et rien résolu. Alors maintenant, je fais ma propre justice quand j'en ai besoin ou quand les gens qui me payent en ont besoin. Il t'arrive d'enfreindre la loi ? C'est une bonne question, dis donc. Je suppose que j'enfreins la loi à chaque fois que je dégaine mon arme, alors on peut considérer que je ne suis pas la citoyenne la plus exemplaire, au contraire. Pour l'instant, j'ai eu de la "chance" et ne me suis jamais faite arrêter, et selon moi, ça n'arrivera certainement pas de sitôt. Mon métier me plait et je ne compte pas l'abandonner de sitôt, encore moins pour une notion nommée "loi" qui ne me plait pas. Heavybrook t'en penses quoi ? Je trouve cette ville plutôt pas mal à vrai dire, puis c'est à côté de ma ville natale. Certes, Southie me manque parfois, mais qu'est-ce que je peux dire ? C'était mieux que je parte, pour tout le monde. Heavybrook ne me change pas tellement et c'est ça le plus important. Alors j'aime cette ville, c'est pour cette raison que j'ai décidé d'y rester et de ne pas partir ailleurs comme je pourrais si bien le faire. Qu'est-ce que tu nous caches ? Qu'est-ce que je vous cache ? Pas grand-chose. Peut-être un passé pas très glorieux duquel je ne parle pratiquement jamais. Trop de choses à cacher à propos de ce dernier. Enfin, c'est tout simplement que je ne vois pas pourquoi j'irai développer sur tout ce qui a bien pu m'arriver. Ma famille est un sujet très sensible, mes anciens relations amoureuses l'est encore plus. Mes parents n'étaient pas parfaits, mais faisaient de leur mieux j'imagine. Sauf qu'ils ont fini par se faire tous les deux tuer, comme des cons. Mes frères et sœurs se sont éparpillés et je leur adresse plus vraiment la parole depuis. Le reste, c'est bien trop compliqué pour en parler. De quoi as-tu peur ? Je ne sais pas exactement. Peut-être de mourir, mais non, je distribue trop la Mort pour pouvoir en avoir peur. Ce serait ridicule. Je n'ai rien à perdre, alors peut-être que si c'était le cas, je pourrais réellement être effrayée par quelque chose. En ce moment, pas vraiment. J'imagine que la torture (physique) doit être quelque chose d'assez terrifiant en soi, donc j'crois que c'est ça qui me fait peur. Ou non, finir ma vie en taule, ça, ça me rendrait complètement malade. Et je préfèrerais que ça n'arrive pas. Ta playlist : Assez variée. Exemples : O Death (Jen Titus) - Radioactive (Imagine Dragons) - Black (Kari Kimmel) - You Are My Sunshine (Johnny Cash) - My Life (JJ) - We Must Be Killers (Mikky Ekko) - All Along The Watchtower (P.O.S) - Broken Crown (Mumford & Sons) - Bottle Of Pain (Combichrist)... Parles nous de toi. Née à South Boston, elle a vécu là-bas jusqu’à ses vingt-et-un ans avant de bouger pour voir autre chose que cette ville, même si Southie lui manque au moins une fois par jour. Tout comme l’ambiance qui y régnait. ~ Elle a un accent Irlandais très prononcé, certainement à cause de ses parents. Et c’est bien connu, à Boston, on jure beaucoup et c’est aussi le cas de Sibeal, même si elle arrive à se contenir. ~ La brune fume, beaucoup d’ailleurs, c’est une habitude qu’elle a depuis son séjour en centre de détention pour mineurs – qui a d’ailleurs duré un an –. ~ Sibeal n’a jamais été une personne exemplaire, au contraire. En même temps, en grandissant à Southie, c’est parfois dur de ne pas aller du mauvais côté de la loi et c’est ce qu’elle a fait dès son plus jeune âge. Elle trainait avec les mauvaises personnes les trois quarts du temps. ~ Cela fait maintenant six ans que Breckenridge est à Heaybrook. Elle s’y plait bien. Elle aime son métier. ~ Honnêtement, elle n’aime pas les voitures, sauf pour son métier, puisqu’être garde du corps sur une moto, ça complique les choses. Donc elle se contente de la voiture quand elle travaille, mais une fois dehors, elle est avec sa moto, peu importe où elle va et le temps qu’il peut faire. Sa moto est son bébé. ~ La personne qu’elle connait depuis le plus longtemps, qui est toujours en vie et à qui elle parle encore est Reed Fowler, son meilleur ami depuis pratiquement toujours. Même après neuf ans sans s’adresser la parole une fois, ils ont quand même réussi à devenir potes. Et clairement, il est très important pour Sib. Lui faire du mal serait clairement signer son arrêt de mort. ~ Tuer des gens ne lui pose d’ailleurs aucun problème, ce qui pourrait semblé bizarre très certainement suivant les points de vue. Mais pourtant, elle aime ce qu’elle fait, suffisamment pour continuer. Elle n’éprouve pas de remord. Puisque si ces gens sont morts, c’est qu’ils devaient avoir quelque chose de mal au moins une fois et si ce n’est pas le cas, tant pis pour eux. ~ Et elle hésite encore moins à tuer quand elle doit protéger les gens qu’elle apprécie. ~ Sibeal sait se servir de couteaux, de tous types d’arme à feu, mais aussi de ses pieds et de ses mains. Elle pratiquait les arts martiaux avec un de ses frères à l’époque et elle était plutôt douée. Elle l’est toujours. En gros, la provoquer, c’est très dangereux. ~ Sibeal adore la bière niveau alcool, ne fume que très rarement de la marie-jeanne (contrairement à quand elle était jeune) et elle boit beaucoup de café. ~ Elle évite de coucher à droite et à gauche, elle préfère ne pas perdre son temps avec ça. De plus, ses relations passés lui ont donné quelques leçons sur : comment éviter de s’attacher aux connards. Littéralement. Disons qu’elle était plutôt dans les mauvais garçons. ~ Sibeal aime beaucoup travailler pour Vesper qu'elle apprécie grandement depuis le départ, disons que deux fortes têtes comme elles sont étaient faite pour s'entendre.

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~ Pseudo : redhedlund. ~ Prénom : Mathilde. ~ Âge : 17 ans. ~ Où as tu connu le forum ? : Bazzart. ~ Avatar : Kate Beckinsale. ~ Commentaire : Votre forum est magnifique, je suis heureuse qu'il soit ouvert !

+ why do we fall ?

« T’sais, j’vais te faire sortir de là. » Deux mois que je suis là, deux mois qu’il me dit ça en tentant de se rassurer lui-même de mon retour. Sauf que je sais que je ne sortirai pas tout de suite, disons que si au départ j’étais là pour avoir lourdement frappé un type, plus ça va et plus j’aggrave les choses en me battant dans ce maudit centre de détention pour mineurs. Alors je sais que je m’enfonce et que Reed ne pourra rien faire contre cela, peu importe ce qu’il peut tenter de faire pour moi. « Laisse tomber, tout va bien. Tu sais si ma famille va bien ? » C’est pas totalement vrai, il le sait aussi bien que moi et c’est pour cette bonne raison que dériver le sujet de conversation me semble être la meilleure solution. Ma famille, depuis que je suis enfermée, je les ai pas vu une seule fois. Ils ne m’ont pas appelé et mon seul lien avec le monde extérieur est Reed. Toujours lui. A croire qu’il est incapable de m’abandonner, pourtant je pense que ça lui ferait le plus grand bien de tirer un trait sur mon existence. Pour son plus grand bien. « Ouais, ils vont bien. Tes parents peuvent pas venir, ils bossent trop. Et tes frères et sœurs ont pas le droit de venir, tes parents veulent pas. » Il m’observe avec son air désolé, parce que clairement, mes parents ne bossent pas trop, ils ne veulent tout simplement pas se prendre la tête en foutant les pieds ici. Mes frères et sœurs, ça encore, c’est déjà plus crédible, mais je sais que peu importe que je sois là ou pas, la maison sera toujours aussi bruyante. L’histoire de la famille unie qu’on voit dans les films n’est pas du tout l’ambiance qui règne chez moi, non pas que je m’en plaigne plus que ça. Mais peut-être que trop de liberté tue la liberté. Enfin qu’est-ce que j’en sais, j’veux dire, j’ai jamais vécu autrement. « Ok, j’imagine que ça les arrange pas mal d’avoir une bouche de moins à nourrir. Et toi, ça va ? » Là encore, je préfère changer de sujet plutôt que me prendre la tête pour eux, sachant qu’ils sont en train de faire autre chose qui n’a aucun rapport avec moi. Reed est plus important, parce que je sais que même s’il ne le montre pas complètement, mon absence l’emmerde. Notre habitude d’être tout le temps ensemble doit être plus difficile à vivre pour lui que pour moi, enfin… je suppose. Quoi que lui au moins, il n’est pas enfermé avec une bande de débiles qui me font des démangeaisons de la main tellement l’envie de les frapper me ronge dès que l’une d’elles ouvre sa bouche. « Ouais, ouais… ça pourrait être mieux, si tu vois ce que je veux dire. » Je vois. Je baisse la tête, me mords la lèvre avant de me redresser et de poser mon regard dans le sien doucement. « J’suis désolée. » Que je finis par lui dire, sincère alors qu’il hoche la tête, me signifiant que c’est pas si grave. Je me lève pour annoncer mon départ et le prends dans mes bras quand il fait de même. Je lui souris avant de partir, sans me douter que je vais y rester dix mois de plus que prévu à ce moment-là…
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Un enterrement, pour deux personnes. Des gens qui viennent nous donner leurs sincères condoléances, à mes frères, mes sœurs et moi. Des condoléances dont je me fous. Autre chose à penser, pourtant je souris. Enfin j’essaie. Nos parents sont morts. La même soirée et je sais pas exactement ce que je dois penser. Je sais plus trop. Jed marche à mes côtés alors que je vais vers ma moto, dans le but de penser à autre chose, d’oublier un moment que je reverrai jamais mes parents. « J’vais partir, Sib. Joe et Riley viennent avec moi. J’sais pas trop ce que William va faire. Ni Fiona. Désolé. » M’annonce Jed, tout naturellement, comme si c’était la chose la plus évidente qu’il ne m’ait jamais dit. Évidemment qu’il se barre, fallait que je m’en doute. Jed fait ça quand il sait plus quoi faire. Il fuit et convainc les autres d’en faire de même. A quoi je m’attendais de toute façon ? Une famille enfin unie ? Quelle connerie. « Et j’suis censée faire quoi si vous vous cassez tous ? » Non, parce que clairement, j’ai l’impression qu’il se moque totalement de moi. Puisque si lui, l’ainé, s’en va, les autres vont le suivre. Je suis la deuxième de la fratrie et je sais très bien que maintenant, ils vont tous s’envoler de leurs côtés pour faire leur propre famille adorable. Non, mais vraiment, qu’est-ce que j’espérais ? Je cherche Reed du regard, lui qui a passé l’enterrement à côté de moi, ma main serrant la sienne au point de presque la casser. Un trop plein de colère peut-être. « On veut pas rester ici et on sait que tu voudras pas partir, alors… j’sais pas, j’sais que tu trouveras quelque chose à faire. » Je souris, ironiquement, totalement blasée par ses mots. Ça veut dire quoi ça ? Je prends une grande inspiration, me demandant si ce n’est pas juste un mauvais cauchemar. Mais je suis trop pragmatique pour pouvoir m’étaler plus d’une seconde sur cette piste qui serait pourtant si agréable. Techniquement, ce que Jed me dit, ça signifie que dans un an, je n’aurai plus de famille. Plus personne. Je pourrais me mettre à pleurer, mais ce n’est pas mon style. Encore moins devant Jed. « Tu te fous de ma gueule, Jed ? » Je peux pas m’en empêcher, après tout, c’est lui le plus âgé. Celui qui est censé penser au bien de ses frères et sœurs avant le sien. Enfin, ça, c’est ce qu’on dit. Parce qu’il s’en fout, lui, des autres. Son petit bonheur est son seul intérêt. Je l’ai toujours su et pourtant, j’arrive encore à en être étonnée. « Non. Je suis désolé. » Mensonge. Et ça se lit parfaitement dans son regard. Je lui lance un dernier regard avant d’enfoncer mon casque sur ma tête et de grimper sur ma moto, partant la première. Plus qu’un seul endroit où aller, le seul endroit où j’sais que je serai accueillie normalement. Chez Reed.
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« Allez, bouge, t’es chiant. » Reed est planté devant moi, me bloquant le passage alors que je voudrais rentrer de nouveau dans le salon. Plus de deux mois que je squatte son appartement, puisque toute ma famille a décidé de foutre le camp (d’une manière ou d’une autre) et que Fowler est toujours la personne qui me sauve de mes problèmes. Je crois qu’il se sentait légèrement obligé de me laisser vivre chez lui quand j’ai toqué à sa porte, mon sac sur le dos. Mais s’il se sentait obligé, ça ne l’a pas empêché de me dire oui tout de suite. Il est trop gentil. Surtout avec moi. [color=chocolate]« Plus poliment, peut-être que ça marchera mieux. » Je fronce les sourcils, mon regard ancré dans le sien alors qu’on se défit mutuellement du regard, comme deux gosses. Et au final, il finit par détourner son regard avant le mien, tournant la tête derrière lui pour prétendre que quelqu’un l’a appelé. J’ai beau savoir me battre, il est tout de même plus imposant que moi et avec l’alcool et l’herbe que j’ai dans le sang, tenter un exploit résulterait surtout en une blessure quelconque. « Reed, fais pas chier, laisse-moi passer. » Tel que je le connais, il est juste énervé parce que son pote dont j’ai pas enregistré le nom ne fait que de me draguer depuis qu’il est arrivé. Que Reed me connait assez pour savoir que je réponds aux avances de son pote. Quelques secondes plutôt il me disait que ce type – pourtant son pote – est un enfoiré avec la gente féminine. Sauf qu’aux dernières nouvelles, les gentils garçons n’ont jamais été mon affaire. Et ça, depuis que j’ai quatorze ans. « J’ai pas… » Il se fait couper par son charmant ami, ce qui pousse inconsciemment Reed à se décaler me laissant assez d’espace pour pouvoir m’extirper hors de cette foutue salle de bain. « Je vous rappelle que vos verres sont encore sur la table, donc arrêtez de vous toucher dans la salle de bain ! » Je rigole pendant une minute, parce que l’idée de coucher avec Reed me semble complètement… non, ce serait tout simplement pas naturel. Je secoue la tête, dégageant cette idée de ma tête. Je porte mon attention vers le pote de Fowler, dont je me souviens toujours pas du prénom. Certainement que mon cerveau commence réellement à être désorienté. « Je m’appelle Blay. » Peut-être que j’ai pensé tout haut, mais je hoche positivement la tête, un sourire accroché aux lèvres. Je crois pas que j’imaginais que je resterai deux ans avec lui. Ni comment ça se finirait…
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« Va te faire foutre. » Vient un moment où certaines situations ne peuvent plus continuer comme elles le font. Et là, la situation, je crois que c’est ma relation avec Blay. Deux ans. Je pensais pas que ça durerait aussi longtemps. Pourtant, malgré toutes les fins possibles et imaginables, je m’attendais pas à cette fin-là. Je m’attendais pas à ce qu’il ose me gifler. Pour quelle raison ? J’ai appris que monsieur m’avait trompé et mes commentaires à ce sujet ne lui ont pas plu. Je pense qu’il a de la chance jusque-là que son bras ne soit pas encore cassé. Mais me salir pour cet enfoiré n’en vaut pas la peine. Alors mes fringues s’empilent dans mon sac, dans une précipitation non dissimulée. Plus vite je serai partie d’ici, plus vite je pourrai aller chez Reed. Pourtant, je crois que je ne resterai avec lui qu’un seul soir. Southie m’a apporté que des emmerdes et partir, faire comme Jed il y a longtemps, me semble être la seule solution pour vivre autre chose. Je pense une main se poser sur mon bras, mais je la dégage tout de suite. « NE ME TOUCHE PAS. » Le regard que je lui offre montre clairement que s’il continue, je risque très fortement de lui rendre sa putain de gifle. Et monsieur ne supporterait pas qu’une fille lui foute une raclée. Pauvre enfoiré. Je sors de l’appartement après avoir rassemblé l’ensemble de mes affaires dans mon sac, puis prends ma moto et vais chez Reed sans attendre. Arrivée devant sa porte, je frappe plusieurs coups avant de regarder l’heure. Merde. Une heure du matin. Ça m’étonnerait pas plus que ça qu’il soit en train de dormir. Il finit quand même par ouvrir la porte, en caleçon et t-shirt. Je lui fais un petit sourire et le regard qu’il connait si bien maintenant. « Je… je pourrais dormir chez toi ce soir, s’te plait ? » Je pose tout de même la question pour être certaine qu’il m’ait compris, vu l’heure qu’il est. Il hoche la tête, me laisse entrer et prends mon sac sans poser de questions. Putain, ça me surprend toujours qu’il n’ait toujours pas de copine. J’imagine que les filles ne savent vraiment pas ce qu’elles perdent. Et je pense que c’est aussi un peu de ma faute. Mais le rite de passage est obligatoire, parce que je veux pas qu’une conne se retrouve à être sa petite-amie si elle ne le mérite pas. « C’est quoi que t’as sur la joue ? » Je me retourne vers lui, fronce les sourcils. Merde, ça se voit ? Même si c’est le cas, je veux pas en parler avec lui. J’ai pas besoin de lui raconter le pourquoi du comment, j’en ai pas envie. Je suis pas d’humeur. J’ai juste envie de dormir. « Rien. » Je me mets de nouveau de dos à lui, fuyant littéralement son regard. Parce qu’en plus du reste, je préfère pas qu’il décide de s’en mêler. Ça ferait que foutre le bordel et j’aime pas ça. Je me pose sur son canapé et ferme les yeux. « Sib. » Je soupire. Tourne de nouveau la tête vers lui alors qu’il s’installe à côté de moi, sérieux. Trop à mon gout pour un sujet qui le concerne pas. « Ça te regarde pas, merde. » Que je finis par lui dire, sur ton qui décrit mon envie de changer de sujet. Sauf que je vois dans son regard qu’il ne compte pas lâcher le sujet. Et certainement que j’en ferais autant si la situation était inversée. « Si, ça me regarde, parce que t’es ma meilleure amie et que je veux savoir qui t’as frappé. » Je l’observe, détourne le regard pour me mordre la lèvre. Je sens que cette conversation va sérieusement me prendre la tête. Et je dois avouer que ça m’énerve d’autant plus. « Ça te regarde pas, sauf si t’as envie de me dire que tu m’avais prévenu. » Cette phrase veut tout dire et il le sait aussi bien que moi. Deux ans qu’il me répète que Blay est un enfoiré de mes deux et deux ans que je dis que c’est pas tout à fait vrai. « Attends, c’est Blay ? » Je réponds pas et pour je ne sais quel raison, je pose mes lèvres sur les siennes, attire son visage contre le mien et finit par m’assoir à califourchon sur lui. Merde, je crois pas que je m’attendais vraiment à ça. Et c’est peut-être pour ça que je suis partie directement à mon réveil.
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Maintenant six ans que je suis à Heavybrook et je dois avouer que parmi New-York, Los Angeles et Phoenix, c’est le meilleur endroit où je suis passée. Pas d’embrouilles vraiment trop grosses et pas de job qui pourraient me couter ma peau à une trop grande échelle. A New-York, les clients ne savaient jamais ce qu’ils voulaient exactement et c’était foutrement énervant. Ceci dit, c’était déjà mieux à Los Angeles, mais je me sentais trop loin de la côte Est. Je m’attendais certainement pas à croiser Reed dans le coin, mais j’imagine qu’après qu’il m’ait grandement gueulé dessus pour m’être barrée il y a plus de quinze ans sans lui donner de nouvelles, il a fini par me pardonner. Enfin, tout est relatif. A toujours être tueuse à gages, j’ai fini par trouver un vrai travail. Garde du corps, métier qui colle plutôt bien au comportement de folle dangereuse que je suis capable d’adopter. Et bosser pour une femme, c’est tout de même foutrement agréable et plaisant. Puisque bon, c’est plutôt rare de voir des réelles fortes têtes dans le milieu. Alors clairement, si j’ai tendance à toujours partir, ici, ce ne sera définitivement pas le cas.

Première membre. (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 1631244980

Bienvenue parmi nous. I love you

Logiquement le problème est réglé. cat

Pour l'avatar, je trouve que Kate est parfaite. (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 815439761

Une seksy tueuse à gage au pseudo de la mort qui tue.
bienvenuuuuuuuuue sur TTTM courage pour ta fiche, et si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas.
Quels sont tes choix d'avatars ? Je serais ravie de donner mon opinion.

Bienvenue parmi nous, ça fait trop plaisir de voir des membres ! Surtout que ton avatar je le trouve parfait aussi

le peu d'information me donnent déjà envie d'en savoir plus sur ce personnage qui à l'air prometteur (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2404916970

(sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2404916970

et je trouve Kate parfaite, on la voit trop peu (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 1631244980

bienvenue parmi nous (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3997559177

Merci à toutes (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2404916970

Je suis bien contente d'être là (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3553966074

Et du coup, j'pense que j'vais garder Kate alors (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2918750682

Puis si vous voulez un lien, mpottez-moi, comme ça j'aurais déjà des liens avec certains d'entre vous et ça sera peut-être plus facile pour bien établir ma Sibeal. (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2611461525

(sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2611461525

Oh et je me demandais si c'était possible que Sibeal travaille pour Wren ? (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3379423917

Ou pas du tout (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2758568055

Je laisse Vesper répondre à ta dernière question :hehe: mais je pense qu'il y a pas de soucis (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3997559177

C'est tout à fait possible, c'est même une super idée.
Du coup, il nous faudra nécessairement un lien.
et oui, Kate.

Merci

Du coup, j'te mpotte tout de suite, comme ça je pourrai t'inclure dans ma fiche (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3773438697

Génial, j'attends ton mp avec impatience.

Est-ce que vous pourriez me réserver Kate s'il vous plait ? J'ai oublié de demander, puis bon, on sait jamais quoi (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3792198875

(sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3792198875

Je le fais de suite ma belle.

Merci

Encore un point commun, Vesper a été une femme battue.

ta fiche est superbe, ma garde du corps à la claaaasse, c'est le moins que je puisse dire. (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 2404916970

pour cette réponse, et parce que je veux un rp, je te valide. (sibeal) i'll numb the pain, 'til i am made of stone. 3997559177

» go fuck yourself ft. sibeal
» i'll cut your little heart out cause you made me cry.
» ▷ La vérité c'est que j'm'auto-déteste. {Sibeal & Elias}