- REAL HERO ~ ÂGE: 33 ans ~ NOTEBOOK: ~ DISPONIBILITÉS : 1/2
Sujet: Calypso ♠ Can you keep me high? Dim 26 Mai - 20:35
IMAGE BY ME ~ CALYPSO SOFIA REVILLA ◖ Défend-toi et personne ne te prendra ce que tu aimes. ◗
~ Nom : Revilla. ~ Prénom : Calypso Sofia. ~ Âge : 33 ans. ~ Traits de caractère : observatrice, séductrice, astucieux, aventureuse, fidèle, active, passionnée, amicale, brave, rancunière, bornée, sportive, jalouse. ~ Profession : voleuse. ~ Situation amoureuse : fiancée à Crowley L. Panadero. ~ Orientation sexuelle : hétéro. ~ Signe astrologique : bélier. ~ Situation financière : aisée. ~ J'aime : sentir l'adrénaline parcourir tout mon corps, devoir jouer double jeu et séduire, quand je travaille, vivre au jour le jour sans avoir à penser de comment demain sera fait, être en action, ma vie de criminelle, les publicités débiles qui ne font rire que moi, faire du sport que ce soit un simple jogging ou de la boxe, sentir cette douce assurance quand je regarde Crowley dans les yeux, être souvent sur la route, regarder mon homme gagner une course de voiture, écouter de la bonne musique au réveil, cuisiner des petits plats traditionnelles de mon pays, regarder la pluie tomber tout en écoutant l'orage gronder, regarder Crow jouer les mécaniciens et être allongée sur une couverture le soir en regardant les étoiles. ~ J'aime pas : voir un plan monté depuis des mois tomber à l'eau, avoir des imprévus, tomber en panne en plein milieu d'une route désert, passer ma main par la fenêtre de la voiture pour sentir le vent caresser ma peau, voir des femmes s'approcher trop près de mon fiancé, regarder des films qui portent sur un braquage, ça donne toujours de bonne idée pour la prochaine arnaque à monter, les gens qui conduisent trop lentement, perdre du temps et avoir les habits plein de cambouis. ~ Groupe : Goldfinger.
Qu'est-ce que la justice ? Cela m'a toujours paru comme une ligne, imaginaire et si réel à la fois. Deux genres de personnes différentes se tiennent de chaque côté de ce trait, il y a ceux qui choisissent d'être les héros de leurs propres vies, jouant eux-même les rôles du juge et de la victime et puis de l'autre, il y a ceux qui préfèrent que d'autres personnes prennent leur place pour décider ce qui est juste de faire. Je suis la seule à juger de mes actes et je déteste quand quelqu'un ose me dire le contraire, sauf que je ne suis qu'une parmi sept milliards. Et comme partout dans le monde, il a cette forme de justice, armé d'un bijou flamboyant qui apeure les petits voleurs et d'une arme, qui lui permet de juger avec facilité la vie d'une personne, si elle doit mourir ou au contraire vivre. Je ne vous mens pas, en disant que je la déteste et cela, depuis toujours. De leur langage, ces personnes qui ont le permis de tuer, me nomme criminelle mais, je n'en éprouve pas autant cette culpabilité que je devrais avoir sur mes épaules, parce que je suis fière d'être qui je suis, la maitre de ma destinée, le capitaine de mon âme et je suis la seule qui peut donner un nom à ce que je suis. Il t'arrive d'enfreindre la loi ? Je suis une voleuse et en plus de cela arnaqueuse alors, à votre avis ? Chaque jour, j'ajoute un « crime » sur ma longue liste, enfin on va dire cinq jours pas semaines minimum. Il faut dire qu'au Panama, tu apprends très vite à te débrouiller, ce n'est pas un choix, c'est une obligation et voler est une chose qui arrive très fréquemment. Il faut être les plus forts, ne pas se faire écraser et si pour cela il faut passer par des petits ou grands crimes alors, ainsi-soit-il. Mais encore une fois, la loi n'a jamais fait partie de mon vocabulaire quotidien. Je ne ressens aucune gêne à trépasser ces règles que l'on nous implique, les seules lois que je respecte, ce sont les miennes et parfois, celles de Crowley. Heavybrook t'en penses quoi ? Cela fait environ deux mois et demi que Crowley et moi y vivons et je dois dire que c'est une ville qui offre de nombreuses possibilités et j'aime ça. Le hasard à vraiment bien fait les choses quand elle m'a fait pointer du doigt Heavybrook sur la carte routière. Qu'est-ce que tu nous caches ? Certaine chose mais, je déteste révéler mes secrets alors, je dirais simplement que courte est la liste de mes mystères mais, si vous êtes si curieux alors, sachez que si nous sommes dans cette ville, c'est pour nous faire oublier d'une personne qui donnerait cher pour avoir notre peau. De quoi as-tu peur ? Ma plus grande peur, c'est celle de perdre Crowley, nous sommes ensemble depuis plus de quinze années, à présent, il est mon monde, mon univers, mon âme soeur et le perdre serait comme me retrouver dans un néant. Je suis aussi claustrophobe ce qui n'aide pas quand, il m'arrive de ramper dans des conduits d’aérations. Ta playlist :Imagine dragons, Adaline, Angels & Airwaves, Decoder Ring, Foo Fighters, Goldfrapp, Ryan Adams, Off Spring & Blink 182 Parles nous de toi. Je suis la reine des regards meurtriers, le genre à vous donner envie d'être aussi petit qu'une souris, afin de vous cacher dans un trou. Je suis fumeuse depuis que j'ai rencontré Crow', à vrai dire, c'est lui qui m'a initié à la cigarette, je ne sais pas si je dois le remercier ou le lui faire regretter. En voiture, je suis du genre à regarder le paysage défiler tout en écoutant la musique qui passe à la radio. Certaine fille passe leur stress en mangeant ou encore en se rongeant les ongles, moi je cuisine ou je poli mes armes. Je suis du genre à chanter sous la douche, je suis même doué ! Je ne donne pas ma confiance facilement et de ce fait, il m'est assez dur de laisser un inconnu entrer dans ma vie, à part les enfants, qui sont l'innocence même. Je suis une donneuse de coups depuis toute petite, les garçons du quartier en sont pour quelque chose, car c'est eux qui m'ont tout enseigné en grandissant. Dernière chose, je suis une grande fille qui sait se débrouiller sans aide de personne.
+ why do we fall ?
Voici la parti la plus importante de la fiche de présentation. Il s'agit bien sur de l'histoire de ton personnage. Tu peux rédiger celle ci de façon chronologique, en journal intime, en forme de lettres, enfin c'est libre à toi. Tu peux ajouter des citations, de la musique, des images, de la couleur, du moment que celle ci ne déforme pas la page du forum. Une vingtaine de lignes.
I taught myself how to grow.
J'ai grandi dans un quartier modeste de La Palma au Panama. Là-bas, les maisons en bois colorés sur les collines se surplombent et cela a peut être l'air jolide l'extérieur toutes ces couleurs mais, une fois à l'intérieur, c'est tout autre chose. Je n'ai jamais été ce qu'on appelle une petite fille à papa pour la simple et bonne raison que mon père n'a jamais voulu de fille, lui qui voulait tellement un garçon avait été bien déçu, quand il m'a pris dans ses bras, pour la première fois. Ma mère était la seule personne de ma famille à avoir de l'affection pour moi, enfin elle n'était pas du genre à montrer son amour facilement et seulement pour les grandes occasions. En grandissant, j'ai fait la seule chose qui me semblait sensé, enfouir mes sentiments et ne montrer que de l'indifférence envers les autres pour la simple et bonne raison qu'aimer était un mot bien trop grand pour moi. Comment pouvais-je adorer quelqu'un alors que, je ne savais pas vraiment ce que cela voulait dire? Je n'étais pas non plus un robot, une fille solitaire qui n'aime pas avoir des amis, car l'un des points positifs, quand tu grandis dans un quartier modeste, c'est que tout les enfants sont du genre à rester dehors toute la journée, à jouer entre eux et à s'apprendre des trucs. C'est comme ça que j'ai appris à me bagarrer préférant de loin trainer avec les gars que de jouer à la dinette avec les filles. Ce groupe que je suivais tant était composé d'enfants bien plus âgés que moi et j'étais la seule fille qu'ils acceptaient, aller savoir pourquoi. Ce sont eux qui m'ont initié au vol, enfin rien de trop grave ou de trop important, juste des petits vols du genre, prendre une pomme en douce chez le marchand de fruit ou encore, sortir d'une boutique d'habits sans se faire prendre. Je n'avais que douze ans, quand j'ai volé mon premier objet, c'était un bijou que j'avais à plusieurs fois contempler de loin. Je me rappelle encore de ce goût amer dans ma bouche, comme si j'avais léché une pile électrique et cette adrénaline qui fusait partout en moi, au point de me donner l'impression d'être incassable, imprenable. J'ai porté pendant des mois ce collier avec fierté, jusqu'à ce que mon père porte un jour un peu d'attention sur moi et remarque le petit bijou. Ce jour-là, j'ai pris la première raclée de ma vie et même ma mère n'avait pas pris ma défense, elle était restée derrière mon paternel, le regardant arracher net de mon cou mon premier butin, avant de me gifler une dernière fois de sa main toute terreuse à cause de son travail dans les champs. Ce mauvais quart d'heure ne pas m'avais pas donné envie d'arrêter mes bêtises, au contraire, tout ce que j'avais pu voler par la suite, je le cachais dans un endroit que j'étais la seule à connaître, le temps de le revendre par la suite. Je voulais mettre le plus d'argent possible de côté, afin de pouvoir un jour faire ma propre vie ailleurs. Bien vite, ce simple hobby, devint un art pour moi et comme Picasso, je faisais mes proches chefs-d'oeuvre. Je ne faisais rien de très gros, ciblant seulement les magasins et les marchés mais, c'était suffisant et puis, je jouais assez avec le feu et je ne voulais en aucun cas me brûler les doigts.
In your amrs I'd stay, forever if i could, forever if I may
Et puis le temps passe, mon caractère s'endurcit, il faut dire que, quand on traine la plupart du temps qu'avec une bande de garçons, il est difficile de rester une jeune fille sensible qui rêve encore du prince charmant sur son cheval blanc. J'étais une bad ass, une fille qui avait peur de rien et qui faisait tout et n'importe quoi pour tester et connaitre ses limites. Mon talent de voleuse avait évolué avec le temps, pourquoi voler pour revendre, quand je pouvais avoir direct de l'argent ? C'est ainsi que j'ai commencé à jouer les pickpockets, glissant mes mains dans toutes les poches de touristes possible, je n'avais qu'à faire semblant de tomber sur eux et ni vu ni connu, je repartais avec leurs portefeuilles. A la maison, l'ambiance n'avait jamais changé, mon père était tout aussi indifférent à mon égard et ma mère commençait à prendre son parti, au fur et à mesure de mes bêtises. Elle m'aimait toujours à sa manière mais, les occasions pour me monter à quel point elle me portait dans son coeur se faisait rare. A 17 ans, ils étaient plus des étrangers pour moi qu'une famille, je ne leur en voulais pas, parce que j'étais tout aussi inconnu à leur yeux. Il va s'en dire que cela m'a encore plus motivée à mettre de l'argent de côté. Je ne savais pas encore quoi faire de ma vie, l'école m'ennuyait plus qu'autre chose, rien ne me plaisait et j'étais bien plus passionnée par mon petit travail de voleuse. Je n'avais aucun vrai bute, je savais juste, que je voulais vivre autre part, découvrir le monde. Mais tout changea du tout au tout, le jour où j'ai rencontré Crowley. C'était durant une heure de colle aussi banale que toutes les autres, j'étais là pour avoir frappé avec mon livre de math, un idiot qui avait cru possible de poser ses sales mains sur moi, sans me demander mon accord, d'abord. Crowley s'était arrangé pour s'installer derrière moi et avait profité que l'enseignant chargé de nous surveiller soit parti chercher des photocopies pour se présenter. Bien entendu pas impressionner pour un sous, je lui avais lancé un « par intéressée. » tout en lui jetant l'un de mes regards froids, qui avait pour habitude de faire fuir les garçons et même les plus persistants, Par la suite, je fis semblant d'être intéressée, par ce qu'il y avait d'écrit sur ma feuille. Certes, il était beau, avec des yeux couleur océan, une belle gueule et un sourire ravageur mais, il en fallait bien plus pour m'impressionner. Je croyais m'en être débarrassée mais, il ne lui fallut pas longtemps avant de revenir à la charge. Pendant toutes ces années, ma bande d'amis n'avait jamais changé, nous étions proches et je les voyais comme mes frères de sang même si, certain aurait voulu bien plus de moi. Crowley s'était incrusté dans mon groupe m'obligeant à lui parler et à apprendre à le connaitre. Lasser de l'entendre me demander encore et encore ne serait-ce qu'un rendez-vous, je lui accordais une soirée, en espérant par la suite, qu'il me laisserait enfin en paix. Mais cette nuit là, j'ai découvert un tout autre Crowley, un garçon qui savait me fait rire aux éclats et me parler de choses intéressantes. Je fus agréablement surprise de voir que nous avions tellement de points communs et il ne me fallut pas plus que cette nuit, pour tomber sous son charme, il était tout aussi magnifique à l'intérieur qu'à l'extérieur. Nous avions échangé notre premier baiser juste devant chez moi, un baiser tendre et remplis de promesse. Pour moi, ce n'était qu'un flirt de jeunesse, juste une petite histoire à laquelle, je mettrais fin, une fois que j'aurais décidé du jour de mon départ pour une autre ville. Mais, au fur et à mesure que le temps passait, notre histoire a évoluée, au point d'être sérieuse et Crowley est devenu, la seule et unique personne qui compte le plus pour moi, il est devenu ma seule famille et l'idée de partir loin de lui devint une pensée absurde et impossible à réaliser. Comment pouvais-je le quitter, alors qu'il me rendait tellement heureuse ? Crowley plus que mon petit ami, il est mon amant, mon meilleur ami, mon confident, ainsi que mon professeur. Il m'apprit tout ce qu'il sait, sur comment arnaquer les gens et voler de plus grosses cibles, sans se faire prendre. Il m'enseigna la seule matière qui m'avait toujours passionné, le vol. C'est à ses côtés que j'ai fait et continue de faire mes plus gros coups, me faisant passer d'un simple portefeuille à une caisse entière.
Your mind, I'm yours.
L'université n'a jamais fait partie de mes plans, je ne me voilais pas la face et puis avec le lycée, j'avais bien assez étudié. Mon père n'a pas mis longtemps avant de me faire comprendre que je devais quitter la maison, prétextant qu'il me fallait à présent vivre de mes propres ailes, comme il l'avait pu faire à mon âge. J'ai mis tout ce qui m'appartenait dans mes valises, ce qui voulait dire pas grands-choses, à part mes vêtements et quelques objets qui me tenaient à coeur, comme par exemple, mon premier bijou volé, que j'avais eu tant de mal à réparer, après que mon père ne me l'ait arraché. Il n'était plus aussi jolie qu'avant et ne tenait encore moins, autour de mon cou mais, je l'avais gardé comme souvenir. Quand je regarde ces petites pierres violettes, je me rappelle d'où je viens et de comment, je suis arrivée là et je ressens une certaine fierté mêlée d'une étrange mélancolie. Ils ne nous avaient pas fallut longtemps, à Crow' et moi pour sauter un pas important dans notre relation, après trois ans, nous nous sommes installé ensemble dans un petit appartement dans le centre-ville de La Palma. L'endroit était juste assez grand pour nous deux et comportait la plus petite salle de bain qu'il était possible de créer mais, cela nous allait, car tant que nous étions ensemble, le reste importait peu. Bien loin de nous, l'idée de trouver un travail ! Nous en avions déjà un qui demandait beaucoup de notre temps et dans lequel nous étions plus que doués. J'avais raconté à mes parents que je travaillais dans un petit magasin du centre-ville, en sachant pertinemment que jamais, ils n'y mettraient les pieds, c'est des vieux de la vieille école, préférant rester dans leur petit quartier mal famé plutôt que de s'aventurer pour découvrir ce qui les entoure, chose que je n'ai jamais compris. Un jour, je me surpris à comprendre les agissements de ma mère à mon égard et à celle de mon père. Elle aimait et aime toujours son mari et respecte ses choix au point, de les appuyer même, quand il a tort. Je fais la même chose avec Crowley, je lui donne mon soutien, l'appuie dans ses idées, je suis là pour lui, sans qu'il ait besoin de me le demander. C'est de cette manière, que j'ai compris que j'avais des points communs avec cette femme qui m'avait mise au monde et que dans un sens, elle avait eu raison en jouant son rôle d'épouse. Par la suite, je ne lui en ai plus vraiment voulu d'avoir agis de la sorte à mon égard durant ses années de lycée mais, je pense qu'elle aurait pu m'expliquer la manière dont un couple fonctionne. J'ai tout appris tout seul, sur le tas et si, j'avais eu ne serait-ce que quelques conseils, je pense que cela aurait changé certaine chose. Me mettre à aimer Crowley, n'a pas été difficile, je dois dire que, quand j'ai compris que je pouvais lui faire confiance, je me suis ouverte et j'ai surfé sur la vague mais, je n'étais qu'une débutante à ce moment-là et je peux dire, que je me suis prise beaucoup de gamelles avant de savoir, comment m'y prendre correctement. J'ai toujours su que je finirais ma vie aux côtés de Crowley mais, je dois avouer que, quand il m'a fait sa demande en mariage, j'ai cru que j'étais en train de rêver. Je n'y avais pas vraiment pensé et n'y non plus vraiment parler avec Crow, faut dire que ce n'est pas vraiment notre sujet principal. Je n'ai même pas eu besoin d'y réfléchir, à vrai dire, le « oui » est sorti tout seul, au bonheur de mon fiancé qui a pu me passer cette magnifique bague de fiançailles au doigt, devant toutes les personnes présentent dans le restaurant. Nous avions même eu le droit à une bouteille de champagne offert par le gérant du restaurant pour fêter ça, dire que, j'ai failli gâcher cette soirée, à cause de ma jalousie...
I'm going wherever you will go
Des choses stupides, Crowley sait en faire, comme par exemple draguer une midinette, juste pour me rendre dingue ou encore...montrer son visage, alors qu'on est en plein casse et sur le point de s'échapper. Nous venions de tout juste de braquer l'un des plus gros casinos du Panama, un coup qui nous avait demandé des mois de préparations et à vrai dire, de tout ce que nous avions pu faire comme arnaque, celle-ci était la plus grosse que toutes. Les sacs remplis de billets étaient dans nos mains et je dois dire, que cela pesait plutôt lourd, en plus de mon fusil pointé sur les gardes de sécurité du casino. Nous étions sur le point de partir, quand Crowley a divulgué son identité, dévoilant son visage aux yeux de tous, y compris le directeur et propriétaire de l'endroit. J'étais folle de rage contre lui, comment avait-il pu faire une chose aussi stupide, nous étions tous les deux dans le pétrin, par sa faute. Il ne me fallut pas longtemps avant de le disputer, je voyais très bien que quelque chose clochait, car Crow est intelligent et que garder son identité anonyme est l'une des règles qu'il m'avait lui-même apprise, je ne comprenais pas comment il avait pu oublier cela. Pour toute excuse, j'eue le droit à un « problème de cagoule », problème de cagoule, tu te moques de moi ?! Je n'éprouvais pas de la colère mais, de la peur, peur que par cet acte, l'homme de ma vie me soit pris et envoyer loin de moi, en prison ou entre quatre planches sous terre. Il nous restait plus qu'une seule chose à faire et Crowley avait été le premier à le savoir. Nous étions chez la femme qui l'avait élevé après la mort de son père, une personne qui me tient tout autant à coeur que ma propre mère, une femme douce et qui avait su élever Crow comme une mère peut élever son fils. Il profita de son absence dans la cuisine pour me parler face à face, expliquant qu'il devait partir et prétextant que je méritais une autre vie bien plus stable que celle-ci. Je sais qu'il pensait à bien en disant cela mais, j'étais furieuse qu'il ose penser que j'allais le laisser s'en aller sans moi. Il m'appartenait tout comme, j'étais sienne et en aucun cas, j'allais le regarder s'en aller. Il ne lui fallut pas longtemps avant de comprendre qu'il était hors de question que nos chemins se séparent, l'un de mes regards noirs, dont j'ai le secret avait suffi.
C'est de cette façon que commença notre fuite, parcourant des kilomètres sans vraiment savoir où aller, nous avions seulement pris le nord, passant par le Mexique, jusqu'en Amérique. Crowley avait acheté une map dans une station essence juste après la frontière et l'avait étalé sur le capot de son Impala, je ne savais pas vraiment quoi choisir, alors j'ai laissé le hasard faire ce choix à ma place, plaçant mon doigt au hasard sur la carte. Notre destination finale, Heavybrook et rien que le nom de cette ville me donnait l'espoir de croire que Crow et moi pouvions refaire notre vie. Cela fait maintenant un peu plus de deux mois que nous y vivons, nous y jouons les bons petits voisins dans notre splendide maison, le genre dont j'ai toujours rêvé d'avoir, depuis toute petite. Je ne sais pas vraiment ce qui va nous arriver, quel sera le prochain coup, le prochain problème sur notre chemin mais, tant que je suis avec l'homme de ma vie, je n'ai peur de rien.
~ Pseudo : Indie. ~ Prénom : Elodie. ~ Âge : 25 ans. ~ Où as tu connu le forum ? : sur prd, grâce à une recherche de forum. ~ Avatar : Olivia Wilde. ~ Commentaire : Votre proposition sur prd tombait à piques! C'est vraiment ce que je recherchais.
Dernière édition par Calypso Revilla le Jeu 30 Mai - 22:07, édité 20 fois
- REAL HERO ~ ÂGE: trente-deux ans. ~ NOTEBOOK: ~ DISPONIBILITÉS : On va s'calmer un peu, hein. (0~3)
Sujet: Re: Calypso ♠ Can you keep me high? Dim 26 Mai - 20:36
wilde, la femme de ma vie. et ce pseudo lui va à ravir. Bienvenue sur TTTM, et courage pour ta fiche. si tu as la moindre question, n'hésite pas à squatter ma boîte mp.
Sujet: Re: Calypso ♠ Can you keep me high? Jeu 30 Mai - 12:33
tu as jusqu'à demain pour terminer ta fiche , si ce n'est pas le cas elle et ton compte seront supprimé. tu peux, bien sur, avoir un délais de trois jours si besoin